nos corps, comme des flammes, se soulèvent sur d'atroces foyers
«Le peuple est muet... Lorsque, par hasard, la tribune ou la presse laissent échapper quelques paroles de pitié sur sa misère, on se hâte de leur imposer silence au nom de la sûreté publique, qui défend de toucher à ces questions brûlantes, ou bien on crie à l’anarchie. Et puis, quand il s’est fait un grand silence, on dit : Voyez, la France est heureuse, elle est paisible, l’ordre règne !»
(et son état, sa société civile et ses médias) L'Empire du Bien et ses ennemis Si le populisme se définit exclusivement au regard des institutions existantes, c'est en dernière analyse parce qu'elles le déterminent de bout en bout. Il est donc réactionnaire...
Un doigt de dictature pour resserrer les coutures Appeler à faire barrage au Front National, c'est avant tout poser la question de son éventuelle arrivée au pouvoir et non celle de savoir si ses idées communautaristes et xénophobes sont compatibles avec...
La boulange républicaine et ses princes et présidents à croquer Dès l'élection assurée du candidat des milieux économiques européens et français, palmes, rameaux, lauriers, un choeur de buissons bondissants a entrepris de louer le Nouvel Élu Républicain...