nos corps, comme des flammes, se soulèvent sur d'atroces foyers
«Le peuple est muet... Lorsque, par hasard, la tribune ou la presse laissent échapper quelques paroles de pitié sur sa misère, on se hâte de leur imposer silence au nom de la sûreté publique, qui défend de toucher à ces questions brûlantes, ou bien on crie à l’anarchie. Et puis, quand il s’est fait un grand silence, on dit : Voyez, la France est heureuse, elle est paisible, l’ordre règne !»
19 juillet 2016 Toute la journée de samedi fut occupée à sécuriser la situation. Le pouvoir en place demandait à ses supporters de rester dans la rue... Hier encore cette mobilisation sur les places publiques continuait. La situation était encore incertaine...