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nos corps, comme des flammes, se soulèvent sur d'atroces foyers

nos corps, comme des flammes, se soulèvent sur d'atroces foyers

«Le peuple est muet... Lorsque, par hasard, la tribune ou la presse laissent échapper quelques paroles de pitié sur sa misère, on se hâte de leur imposer silence au nom de la sûreté publique, qui défend de toucher à ces questions brûlantes, ou bien on crie à l’anarchie. Et puis, quand il s’est fait un grand silence, on dit : Voyez, la France est heureuse, elle est paisible, l’ordre règne !»


Des effets de la corruption comme sagesse des nations

Publié par xyz sur 17 Avril 2016, 14:18pm

Catégories : #air du temps french cancan

Des effets de la corruption comme sagesse des nations

Une réaction démocratique à la démocratie réactionnaire

La nuit debout fait suite à l'appel à la nuit rouge du 31 mars, qui est lui-même le résultat d'une soirée intitulée Leur faire peur, qui a eu lieu, le 23 février, à la Bourse du Travail, et proposée par le journal Fakir, « dans la lancée de l'énergie des salles bondées où était projeté le film Merci Patron », dont le sous-titre pourrait être Le Vrai Mec Humain et sa largesse d'esprit, en détournant le sigle du groupe exposé, à juste titre, aux feux d'un journal de presse qui, jusqu'à preuve du contraire, mérite son qualificatif de libre. D'abord il est heureux qu'au-delà des « syndicalistes, intellos, zadistes, ouvriers, mal-logés, étudiants, précaires » qui ont posé, au cours de cette soirée, l'idée que « nous ne rentrerons pas chez nous après la manif du 31 mars », beaucoup se soient réjouis d'un film qui a connu un succès, ceci découlant de cela, populaire. D'autant qu'il ne manque pas de bon samaritain médiatique pour rappeler aux Français qui aiment la France, quel chemin de croix c'est, aujourd'hui, d'être patron, croulant sous le kilo et demi de code du travail, en se faisant cracher dessus par une foule de syndicalistes non-représentatifs, qui persistent dans l'ignorance de la vraie religion du travail, à savoir défendre l'esprit d'entreprise et au-delà le simple bonheur d'avoir le plus petit emploi, la joie d'imaginer quelle croissance demain adviendra et la paix à perpétuité que l'Europe monétaire et budgétaire leur garantit, de façon sonnante et trébuchante, et par conséquent de la façon la plus sage et équitable.

Merci Patron nous ne voulons plus de vous est donc, relativement à la satire sociale, qui le porte, une réussite, en matière de dénonciation d'une prétendue élite qui, en réalité, ne s'occupe que d'elle-même et de son entourage immédiat, dans tous les sens de ce terme, à savoir, dans le cas de Merci LVMH, des intérêts à court, moyen et long terme des seuls managers et actionnaires qui mettent le monde en coupe réglée, sans se soucier des catastrophes humaines qui en résultent. Le seul souci véritable de ces anges de la vie vécue, selon un certain pourcentage, est de demander l'asile économique à la Belgique perçue donc comme un paradis fiscal, et d'étirer démesurément leur sagesse trempée dans une aube hyper dorée, et par conséquent le plus à l'ouest possible, jusqu'au Panama, qu'est le roi des patelins pour les seigneurs de ce monde. De ce seul point de vue, La nuit debout, qui en garde en elle l'esprit initial de dénonciation de l'économie standard, constitue une réaction saine, sans conteste d'ordre démocratique, à la corruption de la démocratie réactionnaire sur toute la ligne, se déployant quant à elle, depuis les années étoilées du cirque Reagan Thatcher Trust, en tartinant le monde d'une couche épaisse et grasse de morale odieuse et écœurante, dans laquelle il est affirmé, avec une arrogance sans bornes, doublée d'une forfaiture illimitée, que Justice, Équité et Responsabilité sont inhérentes au Kapital. Il ne manquait plus qu'à frapper le tout au coin d'une sagesse ultra aventureuse. Une saleté médiatique l'a accouchée, sous un olivier, par une nuit longue comme un couteau de lune et fielleuse comme du venin, avant de lui donner ce titre ronflant : la sagesse de l'argent. Voilà pour les traits d'époque, objectivés au gré d'une subjectivité que nous revendiquons à 100 % et jetons à la gueule des possédés de l'individualisme possessif.

Venez tous, voir les magiciens !

Pour les muscadins d'une sociologie ultra, fonctionnant sur le mode du fondu enchaîné, un mal chasse l'autre et au fond tout est dans tout et réciproquement. C'est la pensée marabout bout de ficelle. Comme « Bachar », « daesh », « Chavez », cauchemar « des pays où les (heureux du monde) au creux des lits font des rêves », la parenté idéologique entre le journal Fakir et La nuit debout qui, pour l'heure, hourra ! « la France va mieux », suit son cours que nous espérons, demain, violente pour les violents, est d'une évidence criante, à résumer, comme suit, sauvagement, rose aux dents.

Ce sont des gens qui ne travaillent pas ! Ils n'ont pas le goût du travail et même ils ont la haine du travail. Comme ils ne travaillent pas, ils tournent en rond comme dans la cour d'une prison, ils s'ennuient. Comme ils s'ennuient, ils s'inventent des causes à défendre. Comme ils défendent des causes inventées de toutes pièces, ils se radicalisent et poussent aux dérèglements et aux violences pour se faire valoir, comme en 68. Et donc ce sont des « bobos » bourrés d’ego, en mal de reconnaissance publique ou dit autrement une bourgeoisie bohème pathologique qui n'a le respect de rien, même pas d'elle-même, et n'hésite pas à manipuler les « jeunes » pour arriver à ces fins plus que troubles voire pire étrangères à la démocratie.

L'exquise pensée en forme d'auto-portrait que voilà, digne d'un grand cadavre républicain à la renverse, le pire étant qu'elle est notre pain quotidien, parce que pour le reste, c'est une coquille vide. Ce blabla-là, qui a pour lui la sagesse telle que définie à l'instant, recouvre une réalité qui se présente tout autrement que le petit récit qu'il nous sert en guise de roman assimilable au journal « détective » survivant quant à lui grâce au crime. Voilà trente ans que ces gens-là, sociologues du haut et du bas, philosophes croissant crème, psychologues, pour les loups et les rats, en un mot sophistiqués, nous entretiennent matin midi soir des multiples soucis qui les assaillent, naturellement tous, d'une gravité extrême, et baladent leur monde du problème des immigrés à la crise des migrants, du complot communiste international à l'islamisme bancal, ou pour faire peuple, sans avoir l'air de céder aux sirènes du populisme, ne tarissent pas des scandales à répétition, censés prouver que leurs institutions, comme dit l'écho des chiottes, ça marche ! La preuve, la complaisance panaméenne en matière de droit international des sociétés, c'est fini ! Et de fil blanc en aiguille à foin, qui peut s'étonner que face au rejet que ne manque pas de susciter leur modèle social-monétaire, ils transforment une crise sociale, voire modèle, majeure, par son ampleur et sa durée dissimulée sous les habits neufs de la Réforme, après l'escamotage de ces affreuses divinités que sont l'Austérité et la Rigueur entourées d'un gros nuage, selon eux, de mouches à merde, en crise d'adolescence 2, le retour. C'est se moquer du monde. C'est ajouter à la dureté des conditions de vie et de travail de la masse soumise aux besoins exclusifs des marchés et des entreprises, l'ignominie immonde de tous les indifférents d'Europe que leurs états rentiers capitalistes, constituent en couches parasitaires dont l'utilité n'est que pour eux.

Finissons-en avec la plaisanterie des heureux du monde vent debout contre le mal

La France est truffée de damnés amis du Peuple et autres losers professionnels, pour qui chaque défaite sociale est une victoire économique. Nous n'en disconviendrons pas. C'est exactement ce que dit le mouvement ouvrier et révolutionnaire depuis au moins un siècle et demi, à savoir que salaire et le profit sont antinomiques. Et les grands défenseurs humanistes du projet de loi travail, ou plus exactement de la loi qui pèse exclusivement sur le travail et libère le capital et l'entreprise, l'ont immédiatement compris comme une divine surprise. Plutôt une gauche molle qui manque de nerfs qu'une droite qui remue son ventre sur un air populaire. Mais la promesse d'alliance était aussi instable qu'un arc-en-ciel. L'inquiétude a repris le dessus, à la vue de la mobilisation syndicale pourtant en demi-teinte, contre ce même projet de loi-travail aujourd'hui en discussion, et qui a débouché sur un mouvement de nature politique, en tant qu'il se développe sur une base territoriale et hors de toute idée de regroupement d'ordre socio-professionnel, la dite nuit debout, qui n'a pas atteint, pour l'instant le stade de radicalité qui lui est attribuée, même si quelque chose bout là-dessous. Car le pays ouvrier, le pays prolétarien, et non le pays réel fantasmé ou le pays européisé, à force de liquidation d'entreprises et de pans entiers de l'industrie, compensés par de pseudos plans de réindustrialisation, de délocalisations dans de nouveaux paradis émergents productifs, de référendums-bidons uniquement faits pour évaluer l'écart grandissant entre les tenants de l'état capitaliste et ses souffre-douleurs qui ne sont pas tous prolétaires, loin s'en faut, est au bout d'un cycle dont la Grèce et l'Espagne rendent politiquement compte, avec une faiblesse extrême, puisque les nouveaux venus sur la scène politique, Syriza et Podemos, en sont encore à imaginer une transformation de la machinerie européenne en Europe sociale. Autant utiliser une Ferrari comme véhicule de transport en commun. Ce qui reste évidemment possible si la Ferrari en question n'a plus de moteur et doit être poussée et tirée, à mains nues, afin de montrer à tous quel beau bolide rouge elle est.

Et maintenant de la piquette pour tous !

La nuit debout, comme tout ce qui défie le bon sens français, satellisé dans le rond-point du non retour où laver rincer essorer Cuba et la Corée, deux nations qui manipulent le monde à volonté, le terrorisme et la drogue, sagement entreposés dans des douanes fantômes et bien sûr la France sens dessus dessous, taxis, cigarettes et bonnets rouges de nuit, est soumise, il va sans dire, à la critique aboyeuse des embarqués de la vingt-cinquième heure marginale qui contemplent le monde par le hublot numérique et se sont donnés pour mission d'en mettre plein les yeux afin d'en avoir pour leur argent. Et pour ce faire, ils courent se faire voir à la radio, à la télé, où débattre du menu du jour, avec quelque impératrice douairière et son fan-club de losers professionnels et autres sublimes portiers du despotisme monétairement éclairé, qui adorent Merkel et les migrants et haïssent littéralement le grand-Mélenchon turco-grec. Ah ça leur petit théâtre d'ombres et de lumières psychédéliques ne manque pas de matière à titriser électriser robotiser... mais voyons plutôt concrètement, comme ils aiment à dire, en se montrant en mots et en images, ce que la nuit debout inspire à l'impératrice de service et ses célestes prunelles et pruneaux.

Fillon ex-croupion présidentiel, « ne comprend pas que ce mouvement soit toléré, compte tenu du contexte sécuritaire ». Quel contexte ? Il n'y a qu'un texte de loi qui réduit démocratiquement les libertés publiques. En bon français, ce contexte-là sécuritaire est une dictature démocratique qui se donne les moyens d'un état autoritaire provisoire. Tout le problème est de savoir en faveur de qui elle s'exerce. Voici deux réponses possibles et historiquement attestées.

Fillon le premier ministre d'Alliot-Marie a proposé au dictateur Ben Ali de mater le printemps arabe.

Fillon l'anticopion, pris la main dans les urnes, comme son alter ego présidentiel et amoureux de lui-même depuis tout p'tit, Copé, s'est essayé à l'art de surmonter la démocratie en démocratie, sans succès. Naturellement ce mouvement-là prime time, de détournement de voix poussant comme des champignons printaniers, était en raison du contexte d'insécurité qui prévalait à l'UMP. Simple vice privé autrement dit vice de forme dont tout le monde sait qu'il comporte un bénéficiaire.

Le Maire la primaire, même équipe de nettoyeurs du printemps, juge normal, en tant que juge-arbitre impartial, d'écouter « les uns et les autres », tant que ça gêne pas « ceux qui veulent travailler et ceux qui veulent étudier ». Une question logique vient : qui sont ces uns et ces autres ? Césars, sauveurs, tribuns qui forcément n'ont le temps, ni de travailler ni d'étudier ?

Le Maire la primeur, sans se gêner, comme il ne travaille ni n'étudie, de souhaiter « qu'il n'y ait pas [...] de dictature de la minorité dans notre pays. Chacun mérite l'écoute, chacun mérite le respect » à l'exception de toute minorité dictatoriale. Mais quelle est donc cette minorité, en sus des Césars, sauveurs, tribuns, ni écoutable ni respectable ? C'est, sans nul doute, dans l'esprit républicain de mai 2015, la dictature syndicale qui nuit à l'entreprise avec de pseudo droits du travail pour tous et oppose son veto au référendum d'entreprise expressément voulu pour rétablir l'écoute et le respect dus à chacun. À commencer par le respect de la personne du patron et la nécessité de l'écoute expresse de la loi combinée à la personne du patron.

L'exUMPécresse et la sociale-Hidalgo du Front-moteur des casseurs-créateurs qui cassent cassent cassent, sans faucille ni marteau, leur vertigineux Modèle Social Français, dégraissant la France, la transformant en cochons-payeurs-de-dette, grognent grignent de concert comme piston étatique et chemise institutionnelle, en intimant aux manifestants l'ordre de faire la police ou qu'ils dégagent ! Mais alors que fait la police ? La Justice, en faisant circuler, de Paris-plage à Cayenne, le sang de France, à coups de gourdins, en vue de générer du sang neuf ?


Vauglin autre François, comique républicain de service, outré par les dommages collatéraux à la nuit debout, dont un commissariat de police de son arrondissement a été la victime, a appelé à la rescousse les CRS debout. Personne à l'évidence n'a ri de son bon mot. Dommage il aurait pu recommencer avec les gendarmes couchés qui sont aux chauffards, ce que la nuit debout est à l'ivresse guerrière et à la conduite en état d'urgence financiarisé, un ralentisseur.

Mariani le marieur de carpe et de lapin, allant au juste milieu, pour mieux embrasser les extrêmes, c'est donc un lèche-cul de la République, désapprouve les manifestations de Nuit debout, comparables, selon lui, à celle, anti-migrants, islamophobe et non autorisée du général Piquemal, en février dernier. Ah ça c'est sûr ! Mariani, c'est pas la gauche-casse-pieds, ni le caviar vert-caserne, mais plutôt, en osant la nuance, la droite heureuse de sa merde !

Luc-Ferry le secoué et et psychopompe juge que « le système français protège ceux qui ont un emploi et empêche ceux qui n'en ont pas de rentrer dans le système ». D'où viennent donc ceux qui ont un emploi ? Du système qui les a générés ? « Quand ont dit qu'on a choisi le chômage, c'est assez exact. Dans les Très-Petites-Entreprises, si vous ne pouvez pas licencier relativement facilement, vous n'embauchez pas ». Dans la vision idyllique d'un monde à secouer secouer, le licenciement est un facteur rafraîchissant d'embauche. « Plus vous bétonnez la situation de ceux qui ont un emploi, moins vous permettez à ceux qui n'en ont pas d'y rentrer. Donc de ce point de vue la loi-travail allait dans le bon sens. Donc, ces manifestations de Nuit debout, objectivement, sont des manifestations anti-jeunes et pro-chômage ». Plus nous lisons cette prose impayable et moins nous sommes étonnés de voir que la vérité ricoche sur ce genre de têtes chercheuses de poux. Cela dit nous sommes d'accord sur un point. Les résistants français, du point de vue du peuple selon Vichy, étaient bien antifrançais et antinationaux.

Luc-Ferry, l'emboîté du container éducatif et humaniste de Transylvanie estime par ailleurs qu'on a donné une trop grande importance à cette Nuit-là debout. Au lieu de s'étendre sur un vrai sujet médiatique : lui-même. Et comme ce médiatique-là vit sous l'empire médiatique, nous prédisons que, toutes choses restant égales, tout en changeant de place, il va de soi, dans mille ans, il en sera toujours question. Pourquoi ? Parce que les meilleures questions n'ont pas de réponse. Comme la question pourquoi la jeunesse ? Quand on dit « la jeunesse, non ce n'est pas la jeunesse, c'est une petite partie », nous avertit Luc skype-walker. Il y en a d'autres, en effet ! Comme les jeunes milliardaires de Macron, en marche vers Panama. Comme ces jeunes Français, croyant bien faire en basculant dans le terrorisme para-étatique ou qui règlent leurs comptes dans les rues de Marseille. Comme les jeunes de 18 à 24 ans qui votent Front National...

Bruckner grand-argentier de la sage cage à rossignols philosophes, pour ne pas changer, a fustigé « l'insuffisance du mouvement à pouvoir changer réellement les choses et l'immédiateté avec laquelle Nuit debout est disséqué par différentes sources :... » méta-romanesques, y compris brut de butin littéraire. Un truc pareil, comment ça marche ?

Chaque mur s'élève en prenant appui contre le mur qui le devance. Avec le temps s'étend un labyrinthe qui secrète son propre fil interprétatif de la solution événementielle à venir dont il est souhaitable qu'il ne se produise pas.

Donnons un exemple de cette calligraphie euro-arachnéenne radicale. La banque imagine des frais pour tenue de compte cybernétique. Pour ceux qui paient, c'est gratuit. Pour ceux qui ne payaient pas, la gratuité devient payante. Et donc il est démontré que qui perd gagne.

Ça n'a pas de sens. Pourquoi ? Il en faut un pour s'enrichir ?

Cambadélis, se rassemblant en totalité, contre la Nuit debout, entonne quelque strophe bien connue des services de police : Français, en guerriers magnanimes Portons ou retenons nos coups ! Épargnons ces tristes victimes À regret, s'armant contre nous... c'est que la Fronde a débordé Solférino et le Palais-Bourbon. Parce que là au pire on s'y fait traiter de babouin ou servir de paillasson à un gorille blanc agricole en rut qui adore développer du concept haut-en-couleur. C'est pas la mer à boire. « Donc la difficulté est là. C'est-à-dire que l'on peut discuter, dialoguer »... mais si ça tourne au vinaigre et qu'on crucifie l'Europe, la Démocratie, l'Homme, la République, alors là stop ! Pas question de passer ou de jeter l'éponge. Ça serait terriblement déchoir. Quel perroquet bleu blanc rouge sur quel perchoir doré déjà ?

Tous ces gens-là ont une philosophie ovipare standard qui les renvoient invariablement à ce qu'il y a de mieux et de meilleur en ce monde capitaliste, eux-mêmes, à illustrer comme suit :

Vivre-ensemble mais chacun séparément selon sa merde

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